Les banques ne sont pas des entreprises comme les autres. Si les banques étaient des entreprises comme les autres, nous n’aurions pas besoin de les qualifier d’institutions. Il suffirait de parler d’entreprises bancaires. Mais personne ne fait ça. Alors, pourquoi parlons-nous d’institutions bancaires quand nous évoquons les banques ? Peut-être parce que les banques ont longtemps été contrôlées par les pouvoirs publics. Peut-être parce qu’il est tentant de les assimiler à des administrations. Certains observateurs vont même jusqu’à considérer que les banques font partie d’un secteur « semi-privé » ou « semi-public ».
Ce statut atypique vaut aux banques d’occuper une place un peu à part dans notre économie. Parce qu’elles en sont l’une des forces motrices, il semble qu’elles aient aussi le privilège de la contrôler. Et peut-être est-ce aussi pour ces raisons que les banques entretiennent avec leurs clients des relations que l’on ne peut pas qualifier de normales, d’ordinaires, ou de banales. Non vraiment, les banques ne sont pas des entreprises comme les autres, et cette différence se manifeste jusque dans leurs méthodes de facturation.
Les tarifs bancaires n’ont pas la réputation d’être faciles à comprendre. C’est même l’inverse. Les clients des banques se plaignent souvent de ne pas comprendre d’où sortent les frais qui leur sont facturés. Une récrimination d’autant plus persistante de la part des clients, que les banques détiennent le privilège de pouvoir « se servir » sur les comptes de leurs clients — alors que n’importe quel autre fournisseur devra d’abord adresser une facture à son client s’il tient à être payé par ce dernier.
Les frais bancaires ont toujours été le principal sujet de discorde entre les banques et leurs clients. Certes, le prix d’un bien ou d’un service fait l’objet de contestations dans la plupart des échanges commerciaux. Négocier fait partie de la vie des affaires. Mais pour bien négocier ce que l’on paye, encore faut-il comprendre ce que l’on paye. Or, lorsqu’on évoque les frais prélevés par les banques, il est coutumier d’entendre que ceux-ci sont incompréhensibles, imprévisibles. Et il semble bien que cette imprévisibilité soit imputable aux pratiques tarifaires des banques, qui facturent, des frais fixes, certes, mais qui accordent aussi une large part aux frais variables.
Les dirigeants doivent parfois attendre 48 heures avant de pouvoir faire certaines opérations sur le site de leur banque. Nous pensons que les banques ne devraient pas faire poireauter leurs clients pendant deux jours à la moindre démarche.
Les banquiers ont beau être sympathiques, bien habillés, et toujours accueillants, ils vous font sans doute payer cher pour des services que vous n’utilisez pas forcément. Voici comment négocier vos frais bancaires sans froisser votre banquier ou votre banquière au passage.
Les amateurs de nautisme savent qu’une course au large peut se gagner (ou se perdre) bien avant le départ. Ce qui se passe après le départ, en mer, relève bien sûr de l’aventure et réserve son lot d’aléas face auxquels les navigateurs doivent réagir rapidement, dans le feu de l’action. Mais ce qui se passe avant le départ importe au moins autant, car une traversée de continent à continent ne s’improvise pas au fil de l’eau. Une traversée nécessite de tracer une trajectoire et de choisir des vents favorables. Les navigateurs qui font l’impasse sur ce travail préalable à terre, amputent leurs chances de briller en mer.
Diriger une entreprise est une autre forme d’aventure, certes, mais une forme qui exige tout autant de préparer sa route, de fixer un cap. Viser la conquête de nouveaux marchés ne s’improvise pas en cours de route. Encore faut-il savoir où vous allez et de quelle autonomie vous disposez. Dans l’entreprise, c’est votre besoin en fonds de roulement (BFR) qui détermine votre autonomie. Bien identifier quel sera votre besoin en fonds de roulement (BFR) vous permettra de savoir jusqu’où vous pouvez aller. Une bonne connaissance de votre BFR vous permettra aussi de choisir des financements adaptés à vos besoins de trésorerie. C’est sans doute à ce prix qu’il est aussi possible de s’accorder les faveurs des vents de la réussite.
Peut-être avez-vous déjà entendu parler de « transformation numérique » ou de « transition digitale ». Ces termes sont à la mode, mais que recouvrent-ils vraiment ? Et quelle attitude devriez-vous adopter sur ces sujets ? Nous avons posé plusieurs questions à Brice Vimont, le directeur commercial de Memo Bank, pour bien comprendre en quoi consiste la transformation numérique et comment les PME peuvent la financer.
La protection des données n’est pas un sujet très excitant. Personne n’en parle dans les soirées ou dans les cafés. Impossible de briller en société avec un sujet pareil. Les rares dirigeants qui s’intéressent à la sécurité des données sont soit des professionnels, dont c’est le métier, soit des victimes de piratages informatiques, qui s’y mettent sous la contrainte dans le but d’éviter une nouvelle attaque.
Chez Memo Bank, nous pensons que la sécurité des données est un sujet digne d’intérêt. Pourquoi ? Parce que c’est bon pour les affaires. Les entreprises qui se soucient de leur sécurité informatique adoptent de bonnes habitudes en matière de gestion des données, des habitudes qui rapportent bien plus qu’elles ne coûtent. Et il n’est jamais trop tard pour s’y mettre. Même si vous n’êtes pas un as de l’informatique, vous pouvez dès à présent prendre des décisions qui vont dans le sens d’une meilleure protection de vos données.
Quelle est la première chose que vous pouvez faire pour protéger les données de votre entreprise ? Réponse : adopter un gestionnaire de mots de passe — ou mettre de l’ordre dans celui que vous utilisez déjà. Mais ce n’est pas tout. D’autres mesures peuvent vous aider à mettre votre entreprise hors de portée des cyber-attaques les plus courantes. Faisons le point.
Depuis le printemps dernier, les PME traversent une crise économique et sanitaire sans précédent. Alors que la sortie de crise se dessine à mesure que la vaccination progresse, les PME qui ont le mieux résisté à la crise pourraient être tentées de racheter des concurrents, notamment par l’intermédiaire d’acquisitions avec effet de levier (leverage buy out ou LBO). Voici tout ce que vous devez savoir sur les LBO, leurs différentes déclinaisons, et le rôle que les banques peuvent y jouer.
La banque comme elle devrait être.
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