La genèse de Gobilab
En 2010, Florence Baitinger, Samuel Degrémont et Xavier Moisant créent Gobilab, avec l’ambition de bannir l’usage du jetable en entreprise. Avant-gardistes et écologistes convaincus, les cofondateurs cherchent une solution durable pour éviter les 6 milliards de bouteilles en plastiques jetés chaque année en France. Un an plus tard, la gourde Gobi voit le jour. Fabriquée en France avec des matériaux respectueux de la santé et assemblée par des personnes en situation de handicap, la gourde débarque sur les bureaux des entreprises. C’est en 2015, lors de la COP 21, que la Gobi est propulsée sur le devant de la scène en équipant les 36 000 participants de la conférence internationale. Depuis, la production de Gobi a décollé et le chiffre d’affaires a connu une belle croissance. Plus d’un million de Gobi sont aujourd’hui en circulation. L’an dernier, l’entreprise a relevé le défi d’élargir sa gamme de produits pour passer de 1 à 6 produits, tout en suivant un cahier des charges strict.
Quand l’opérationnel prime sur le stratégique
Les projets sont nombreux et les journées bien remplies pour les vingt collaborateurs de Gobilab. Xavier Moisant, lui, consacre une bonne partie de son emploi du temps à piloter la stratégie de l’entreprise et les finances de l’entreprise. Un temps précieux qu’il n’aime pas perdre sur les tâches à faible valeur ajoutée comme la gestion quotidienne des opérations bancaires. Xavier et la responsable comptable peinent à jongler entre les contraintes techniques des interfaces de leurs deux banques mutualistes pour gérer les comptes et régler les différents fournisseurs.
Les contraintes techniques s’accumulent au rythme de la croissance
L’élargissement de la palette produits a amené Gobilab à sourcer et à travailler avec de nouveaux fournisseurs. L’entreprise gère désormais le règlement récurrent de factures d’une trentaine de fournisseurs. Or, les délais de validation des virements de 72 heures et la saisie manuelle de chaque bénéficiaire des interfaces des banques traditionnelles ralentissent et complexifient la gestion bancaire quotidienne de Gobilab. Pour la gestion de la paie, le comptable doit par exemple saisir le nom de chaque collaborateur. Le développement de l’entreprise accentue les limites techniques des interfaces bancaires. Xavier suit de loin le lancement de Memo Bank : il est séduit par la promesse de vitesse et de modernité de Memo Bank et y ouvre un compte fin 2020.
Deux heures économisées chaque semaine avec Memo Bank
Xavier et son comptable adoptent rapidement l’interface de Memo Bank et estiment le gain de temps à deux heures par semaine. Ce sont deux heures qu’ils ré-investissent sur des questions plus stratégiques comme le pilotage de la trésorerie. La granularité des permissions attribuées aux utilisateurs du compte donne davantage d’autonomie au comptable pour préparer les virements à émettre. Ce dernier peut importer un fichier de règlements des fournisseurs et des salaires qu’il lui suffit de glisser et déposer sur son espace Memo Bank. En trois clics, chaque semaine, les virements sont prêts à être validés par Xavier. Une validation simple et sécurisée que le cofondateur approuve avec l’aide de son smartphone et non pas en saisissant de multiples codes. La barre de recherche instantanée de l’interface permet d’accéder à l’ensemble de l’historique et facilite le travail de réconciliation bancaire et comptable.
Une organisation des comptes plus proche de la réalité opérationnelle
Le Gobi est distribué aux entreprises mais il est également commercialisé en ligne auprès des particuliers. Depuis peu, Memo Bank offre la possibilité de créer facilement des comptes secondaires, en plus du compte principal. Gobilab prévoit ainsi de répartir les flux de sa boutique en ligne sur un compte secondaire. Tous les paiements qui sont reçus pour cette activité sont alors redirigés vers ce compte. Une option qui simplifie le rapprochement bancaire et offre une vision organisationnelle plus proche du terrain.
Un accompagnement de qualité pour la gestion courante comme pour le financement
Fluide, l’ouverture du compte chez Memo Bank se fait en ligne mais n’est pas déshumanisée pour autant : un chargé d’affaires suit Gobilab sur la durée, de l’entrée en relation à la gestion courante en passant par l’étude des demandes de financement. Il n’y a pas besoin de rappeler le contexte ou les discussions précédentes à chaque nouveau contact initié. Il y a un vrai suivi et ça va vite.
Jusqu’à présent, Gobilab a financé son développement grâce à sa propre croissance et ses excédents de trésorerie. L’ajout de nouveaux fournisseurs et l’augmentation des délais de paiements liés aux clients grands comptes ont mécaniquement entraîné un accroissement du besoin en fonds de roulement. L’entreprise a sollicité Memo Bank pour le financement de son BFR. Une procédure d’octroi que l’entreprise juge particulièrement simple et rapide, sans allers-retours inutiles, sans envoi de documents postaux, ou de prises de garanties excessives.
Gobilab entend basculer davantage de flux sur son compte Memo Bank afin d’économiser des frais bancaires et éviter la facturation des commissions de mouvement — déjà incluses dans l’abonnement Memo Bank.