Si vous avez vu le film Margin Call, vous savez qu’il y a trois façons de réussir dans la banque :
La première façon consiste à arriver en premier sur un marché, pour le quadriller avant que la concurrence n’ait le temps de rappliquer (be first).
La seconde façon consiste à être plus malin que la concurrence, ce qui permet de compenser un éventuel retard à l’allumage (be smarter).
La troisième façon consiste à… tricher, ce qui permet probablement de faire illusion face à des concurrents plus rapides ou plus malins (or else cheat).
Quel rapport entre Margin Call et Memo Bank ? Vous allez comprendre.
À partir d’aujourd’hui, tous nos clients ont accès aux virements instantanés, en plus des virements standards. Les virements instantanés permettent d’envoyer (et de recevoir) jusqu’à 100 000 € (par virement), 7 jours sur 7, 24 heures sur 24. Voyez ça comme l’équivalent du SMS ou de l’e-mail, mais pour les virements bancaires : le délai d’acheminement n’existe plus, ou presque, puisque le virement arrive à destination en quelques secondes seulement.
Pour qu’un virement instantané fonctionne, les deux banques impliquées dans le virement doivent prendre en charge les virements instantanés, c’est-à-dire que la banque émettrice comme la banque réceptrice doivent avoir fait le travail nécessaire pour gérer ce type de virements en particulier. Bonne nouvelle pour les dirigeants de PME : en France, la grande majorité des banques traditionnelles prend déjà en charge les virements instantanés. Ce qui signifie que vous pouvez envoyer des fonds d’un compte Memo Bank vers un compte BNP ou Crédit Agricole, en 10 secondes, dès aujourd’hui.
Revenons à Margin Call. Comment imposer la différence de Memo Bank sur le marché des virements instantanés ? Première question : avons-nous envie de tricher ? La réponse est non, clairement. Deuxième question : sommes-nous plus malins que nos concurrents ? Nous n’avons pas cette prétention, non. Que pouvons-nous faire alors pour nous faire une place au soleil ? Réponse : nous pouvons être les premiers à proposer des virements instantanés… sans surcoût… et avec une limite de 100 000 € (par virement) — le maximum réglementaire.
Toutes les banques traditionnelles proposent déjà des virements instantanés, certes, mais toutes ou presque facturent environ 1 € par virement instantané — à l’exception de la Banque Postale. En supprimant cette « taxe » sur les virements instantanés, et en vous permettant de virer jusqu’à 100 000 € en 10 secondes, nous arrivons les premiers sur le marché des virements instantanés sans surcoût et plafonnés à 100 000 €.