Le ratio d’autonomie financière compare les différentes ressources qu’utilise votre entreprise pour se financer.
Hadrien Léger
16 janvier 2022
2 minutes
Découvrez les ratios financiers examinés par votre banquier au moment où vous faites une demande de financement.
Le ratio d’autonomie financière compare les différentes ressources qu’utilise votre entreprise pour se financer.
Le ratio du coût de la dette bancaire compare les intérêts que paie votre entreprise sur une année, avec sa capacité à dégager des excédents de trésorerie grâce à son seul cycle d’exploitation (toujours sur une année).
Le ratio de capacité de remboursement est égal au rapport entre la somme de vos dettes, et votre capacité d’autofinancement (CAF).
Le ratio de partage des risques est égal au rapport entre la somme de vos dettes bancaires, et la sommes de vos fonds propres. Il permet à votre banquier d’évaluer la dépendance de votre entreprise aux financements externes.
Hadrien Léger
Rédacteur
Au premier semestre 2024, le montant des fraudes liées aux prélèvements SEPA a atteint 16,3 millions d’euros, soit une hausse de 31 % par rapport à la même période en 2023 (source). Souvent utilisé en entreprise pour la gestion des paiements récurrents (abonnements, factures, cotisations), il peut vite devenir source d’erreurs, de litiges ou de blocage s’il est mal structuré. Les retards de paiement peuvent alors durablement impacter votre trésorerie et votre BFR. Dans cet article, nous allons explorer le fonctionnement du mandat de prélèvement SEPA, ses différents types et les étapes de sa mise en place.
En 2023, les fraudes aux virements ont représenté un préjudice de 312 millions d’euros, selon la Banque de France (1). C’est l’un des rares moyens de paiement où la fraude continue d’augmenter, notamment dans les entreprises, où les virements sont massivement utilisés.
Un email bien formulé, un IBAN modifié, un message pressant : les tentatives sont de plus en plus ciblées et passent souvent inaperçues jusqu’au moment où il est trop tard. Dans cet article, faisons un état des lieux des différentes arnaques aux faux virements bancaires. Découvrez comment elles fonctionnent et quelles sont les actions à mettre en place pour s’en prémunir durablement.
50 % des entreprises ont été confrontées à une tentative de fraude en 2022 et 23 % d’entre elles ont subi un préjudice financier.(1) Pour éviter que votre entreprise ne fasse partie de ces statistiques, il est urgent de sécuriser vos comptes bancaires. La fraude sur compte bancaire peut coûter cher, tant financièrement qu’en termes de réputation. Voici des solutions pratiques pour protéger votre entreprise en cas de fraude et renforcer la sécurité de vos transactions.
Un matin, le directeur financier d’une PME reçoit un e-mail urgent de son PDG en déplacement. Celui-ci demande un virement immédiat. Tout semble normal, sauf un détail : l’adresse e-mail est falsifiée. Quelques heures plus tard, l’entreprise réalise qu’elle a été victime d’une fraude.
En 2023, 64 % des entreprises françaises ont subi au moins une tentative de fraude, une hausse de 28 % en un an.(1) Face à cette menace grandissante, comprendre les différentes fraudes financières est la première étape pour mieux s’en protéger.
Voyons les fraudes les plus courantes et comment limiter les risques.
Face à une fraude financière toujours plus sophistiquée, les entreprises doivent redoubler de vigilance. Entre fraude aux fournisseurs, usurpation d’identité et cyberattaques, le rôle du DAF devient clé dans la prévention et la sécurisation des processus comptables. Découvrez les meilleures stratégies pour protéger votre entreprise.
Le constat est sans appel : 69% des entreprises ont déjà été la cible de tentatives de fraude (Allianz Trade x DFCG 2022). Face à cette menace croissante, et en plus des dispositifs existants, le Conseil Européen des Paiements déploie une réponse réglementaire majeure : Verification of Payee (VoP). Si les équipes financières reconnaissent l’ampleur du risque, elles peinent encore à déployer des dispositifs de protection efficaces.
La norme VoP (Verification of Payee), qui sera appliquée par les banques et prestataires de services de paiement (PSP), devrait être un nouvel élément clé de la lutte contre la fraude au virement. Cette réglementation s’ajoute à des couches de produits, services, processus anti-fraude existants, mais est-ce seulement suffisant ? Cette nouvelle réglementation devra être appliquée par les banques et les établissements de paiement, mais, à par la réduction du risque de fraude, quels seront les impacts potentiels pour les entreprises ? Quelles seront les implications concrètes sur les processus de paiement ? Comment les équipes financières devront-elles adapter leurs pratiques ? Notre analyse décrypte les enjeux et impacts de cette transformation réglementaire pour votre organisation.
La banque comme elle devrait être.
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