Notre première campagne de publicité est visible dans Paris

Nos affiches évoquent les petites frustrations et les grands moments de solitude que certains entrepreneurs ressentent quand ils ont des discussions techniques avec leur banquière ou leur banquier. Nos messages jouent sur l’ambivalence des termes techniques parfois employés par les dirigeants — termes que tout le monde ne comprend pas de la même manière, voire ne comprend pas tout court.

Comme nous avons été à la place des dirigeants par le passé, avant d’être à celle de leurs banquiers, nous continuons de parler la même langue que les chefs d’entreprise — bien que nous évoluions à présent de l’autre côté de la barrière. Nous sommes une entreprise innovante, et nous mettons la technologie au service de la banque : nous savons ce que « tour de table » et « série B » signifient.

Du fait de leur activité, les dirigeants d’entreprises innovantes, qu’ils soient des CEO de start-up, de scale-up ou de PME, ont tous une affinité avec les nouvelles technologies. Ils considèrent le numérique comme un atout pouvant les aider à surmonter les obstacles qu’ils rencontrent chaque jour. Chez Memo Bank, nous fonctionnons sur le même mode.

Nous pensons que la banque ne doit plus être un frein dans le quotidien des entreprises, mais un accélérateur. Dans une économie où les entreprises sont en permanence sur le qui-vive pour se développer rapidement, une banque doit vivre au rythme des entrepreneurs et s’adapter à ces derniers pour les accompagner dans leur croissance. C’est la promesse de Memo Bank et c’est pour cette raison que notre première campagne s’adresse aux dirigeants d’entreprises innovantes.

Oui, notre campagne fait aussi la part belle à nos banquières et à nos banquiers. Drôle d’idée ? Et pourquoi pas ? À rebours des « nouveaux modèles », Memo Bank n’est pas une banque sans banquiers. Les entreprises qui commencent à se structurer ont besoin du suivi d’un chargé d’affaires, qui les conseille et répond à leurs demandes — que ces demandes concernent une optimisation de la gestion de leurs dépenses, ou un besoin de financement. La technologie ne fait pas tout mais elle permet à nos chargés d’affaires d’être bien outillés et de se concentrer sur l’essentiel : servir leurs clients.

Chez Memo Bank, vous n’avez pas besoin de répéter qui vous êtes et ce que vous faites à chaque échange avec un banquier. Nous utilisons un CRM qui permet à tous nos chargés d’affaires de rester sur la même page. Vous n’avez pas besoin non plus d’appeler le standard pour joindre votre conseiller : vous avez accès à sa ligne directe et à son calendrier. Nos clients restent bien sûr autonomes dans la gestion de leur trésorerie, mais ils peuvent aussi s’appuyer sur un banquier en cas de besoin.

Les dirigeants d’entreprises innovantes que nous rencontrons nous disent souvent être frustrés de ne pas trouver de banquier qui comprenne leur activité et leurs indicateurs clés. En effet, les banques traditionnelles sont encore mal équipées pour comprendre les entreprises innovantes, leurs marchés, et leurs modèles économiques bien spécifiques.

De notre côté, nos banquiers ont fait leurs classes dans les grandes banques de la place, ce qui signifie qu’ils connaissent bien le monde de l’entreprise en général. Mais depuis leur arrivée chez Memo Bank, ils se confrontent aussi au monde (et au vocabulaire) des entreprises innovantes en particulier. Nos banquiers sont habitués à étudier les dossiers d’entreprises innovantes, à comprendre leur activité, leurs enjeux d’hypercroissance et leur besoin de rapidité. Nous utilisons d’ailleurs nous-mêmes souvent le jargon des entreprises innovantes — pour décrire notre activité, ou l’activité de nos clients.

La déclinaison des accroches

Nous avons pris beaucoup de plaisir à travailler les différentes accroches.

Les termes utilisés

Si ces termes, issus bien souvent de l’anglais, vous paraissent barbares, nous vous proposons quelques explications.

Parlez à un banquier qui ne discute pas de ciné quand vous dites série A/B.

La série A et la série B sont des levées de fonds auprès d’investisseurs. On distingue différents types de levées de fonds en fonction de la maturité de l’entreprise : seed, série A, série B, série C…

Parlez à un banquier qui n’entend pas grogner quand vous dites ARR.

ARR est l’acronyme d’Annual Recurring Revenue, ou revenus annuels récurrents. Il s’agit d’un indicateur utilisé par les entreprises de type SaaS pour estimer les revenus récurrents sur la base des abonnements annuels.

Parlez à un banquier qui ne pense pas muscu quand vous dites traction.

La traction désigne l’accélération de l’adoption d’un produit ou d’un service.

Parlez à un banquier qui ne se présente pas quand vous faites un tour de table.

Un tour de table est une métaphore pour désigner une levée de fonds auprès d’investisseurs.

Parlez à un banquier qui ne pense pas décompression quand vous dites SaaS.

SaaS est l’acronyme de Software as a Service, ou logiciel en tant que service. Il s’agit de la mise à disposition d’un logiciel accessible aux utilisateurs via internet.

Parlez à un banquier qui ne se sent pas flatté quand vous parlez de l’UI.

L’UI est l’acronyme de de User Interface et désigne l’environnement graphique dans lequel navigue l’utilisateur d’une application, d’un logiciel ou d’un site Web.

Parlez à un banquier qui n’entend pas escalope quand vous dites scale-up.

Ce terme s’applique aux entreprises en forte croissance déjà sorties du statut de start-up mais qui n’ont pas encore atteint celui de licorne.

Parlez à un banquier qui ne vous présente pas Adam quand vous avez besoin de devs.

Devs est le diminutif de développeurs informatiques, il s’agit d’une fonction clef très recherchée par les entreprises innovantes.

Parlez à un banquier qui ne vous indique pas la porte du fond quand vous dites VC.

VC est l’acronyme de Venture Capital, et désigne un fonds d’investissement de capital risque.